«C'était l'été de la mort de Coltrane. L'été de "Crystal Ship". Les enfants fleurs levaient leurs bras vides et la Chine faisait exploser la bombe H. À Monterey, Jimi Hendrix mettait le feu à sa guitare. "Ode to Billie Joe" passait en boucle sur les grandes ondes. Des émeutes éclataient à Newark, Milwaukee et Detroit. C'était l'été d'Elvira Madigan, l'été de l'amour. Et dans cette atmosphère instable, inhospitalière, le hasard d'une rencontre a changé le cours de ma vie. C'est l'été où j'ai rencontré Robert Mapplethorpe.» Patti Smith.
«C'était l'été d'Elvira Madigan, l'été de l'amour. Et dans cette atmosphère instable, inhospitalière, le hasard d'une rencontre a changé le cours de ma vie. C'est l'été où j'ai rencontré Robert Mapplethorpe.»
Icônes de l'Art moderne
La collection Chtchoukine
De Anne Baldassari
Autres contributions de Anne Baldassari
Gallimard
L'exposition inédite organisée par la Fondation Louis Vuitton réunit un ensemble de cent trente chefs-d'œuvre parmi les plus emblématiques de la collection Sergueï I. Chtchoukine, créée à Moscou par le grand mécène russe. Depuis Le Déjeuner sur l'herbe (1866) de Claude Monet, le hiératique Mardi gras (1888-1890) de Paul Cézanne, l'odalisque tahitienne Eh quoi, tu es jalouse ? (1892) de Paul Gauguin, le panneau luminescent de L'Atelier du peintre (1911) de Henri Matisse, pour se conclure sur les Trois femmes (1908) et les papiers collés de Compotier, grappe de raisin, poire coupée (1914) de Pablo Picasso, la magnificence de la collection Chtchoukine trouve pleinement à s'exposer ici. Élargie à un ensemble d'une trentaine d'œuvres majeures des avant-gardes russes, dont Contre-relief (1916) de Vladimir Tatline, la Ligne verte (1917) d'Olga Rozanova, ou la table monochrome du Carré noir (1929) de Kazimir Malévitch, l'exposition «Icônes de l'art moderne» porte à l'extrême l'amplitude de ce parcours de la création aux XIXᵉ et XXᵉ siècles. La présentation de ces œuvres d'exception, formant le creuset sensible de notre regard commun, constitue une exemplaire «leçon de peinture».
Au musée d'État de l'Ermitage (Saint-Pétersbourg) et au Musée d' État des beaux-arts Pouchkine (Moscou)
Nouvelle édition brochée en 2017
Nouvelle édition brochée.
Atlas du nouveau monde / la planète comme vous ne l'avez jamais vue
De Alastair Bonnett
Robert Laffont
L'atlas qui révolutionne notre regard sur le monde
1 400 satellites sont à ce jour en orbite autour de la Terre. Un grand nombre d'entre eux scrutent notre planète, ses habitants, leurs constructions, les conséquences visibles de leurs activités sur l'environnement.
Ces satellites ont révolutionné notre façon de voir la Terre et de la représenter. La formidable quantité de données qu'ils collectent chaque seconde est la source principale des cartes de cet atlas.
Des océans inexplorés au Black Marble (la Terre vue de nuit), des continents de plastique aux relations Twitter, des migrations humaines à la diversité des oiseaux, chacune de ces cartes a quelque chose d'important à nous apprendre.
Cinquante panoramas surprenants, provocants, séduisants, pour voir la vie sur Terre d'un nouvel oeil.
Raison et sentiments, Orgueil et préjugés, Northanger Abbey... Trois chefs-d'œuvre abondamment illustrés par deux grands dessinateurs de l'ère victorienne.
Depuis leur parution, entre 1811 et 1818, les romans de Jane Austen sont devenus au fil du temps des incontournables de la littérature mondiale. Tendrement ironiques et doucement cruels, ils doivent leur immense succès au subtil mélange que ce grand écrivain aux allures de cousine pauvre a su réaliser entre la romance et la critique sociale, la délicatesse et l'humour.
Cet album grand format est illustré de plus de 60 dessins dont 22 hors-texte en couleurs. Les illustrateurs, Hugh Thomson (1860-1920) et Charles Edmund Brock (1870-1938), sont tous les deux célèbres pour avoir illustré avec humour et élégance les romans de Jane Austen..
Née en 1775, fille d'un modeste clergyman, Jane Austen vit dans le presbytère d'une petite paroisse du Hampshire, au milieu d'une famille nombreuse et aimante. Si son père ne peut lui offrir des études, il lui ouvre sans réserve sa riche bibliothèque. La même liberté entoure ses essais d'écriture, qu'elle entreprend dès l'âge de douze ans. Elle a vingt et un ans lorsqu'elle commence, avec les encouragements de son père, la première version de ce qui deviendra Orgueil et préjugés. Mais ce n'est que seize ans plus tard, en 1811, qu'un éditeur accepte de publier Raison et sentiments signé "par une dame". Le succès est immédiat et, deux ans plus tard, paraît Orgueil et préjugés, puis ce sont Mansfield Park et Emma. Deux autres romans, Persuasion et Northanger Abbey, seront édités après sa mort, survenue le 18 juillet 1817.